Le coordinateur du FNDC, reconnu dans le monde entier pour son combat en faveur de la démocratie et des droits de l’homme a pris part à cette importante rencontre internationale et à bénéficié de la confiance des congressistes pour être élu comme membre à la haute instance dirigeante de l’organisation notamment son conseil de direction
Ibrahima Diallo représente la société civile guinéenne au Forum d’Accra sur le bilan de la réponse de l’Afrique à la résurgence des changements anticonstitutionnels de gouvernement en Afrique.
Dans sa prise de parole, le coordinateur national du FNDC a mis l’accent sur le fait que les coups militaires ont pour prétextes et terreaux fertiles les coups d’États constitutionnels perpétués par les gouvernements civils afin de s’éterniser au pouvoir en dehors de tout cadre légal.
La répression de cette marche de la presse viole les articles 8 et 34 de la charte de la transition et contraste avec les engagements pris par le CNRD lors de la prise du pouvoir.
La coordination nationale du FNDC condamne « cet enlèvement » et dénonce une violation de toutes les modalités d’arrestation » sans aucune forme de procédure et déplore la détention illégale du coordinateur du mouvement Y en Marre et vice coordinateur du F24 dans un pays en proie à des tensions socio-politiques.
En dépit de la plainte de l’AGUIPEL auprès des autorités de Haute autorité de communication (HAC), les deux sites internets restent inaccessibles par de nombreux lecteurs sur l’étendue du territoire national.
Pour communiquer les informations, une seule adresse électronique et un numéro de téléphone WhatsApp sont à votre disposition notamment :
transitionenguinee@gmail.com ou par WhatsApp au 00224 625 80 80 90 ou s’adresser directement à un membre de la Coordination Nationale du FNDC.
Aujourd’hui, il est clair que Mamadi Doumbouya n’est plus dans la disposition de respecter son serment de consolider les acquis démocratiques. Après le discours de New York, nul ne doit plus se faire d’illusions à cet égard.
En décidant délibérément de ne pas aborder la question du retour à l’ordre constitutionnel et en affirmant que le modèle démocratique nous est imposé par l’Occident, que celui-ci n’est pas adapté à nos réalités et qu’il contribue à entretenir l’exploitation et le pillage de nos ressources ainsi que la corruption de nos élites, le Chef de la junte ne fait que confirmer, s’il en était besoin, son aversion pour la démocratie et l’État de droit.
Cette répression sauvage contre les populations de Boffa aurait déjà fait une dizaine de blessés par balles, dont une victime qui aurait déjà succombée à ses blessures.
