Le coordinateur national du FNDC a dans son exposé souligner la nécessité de fédérer les luttes citoyennes afin de faire bouger les lignes contre les prédateurs de la démocratie et des droits humains.
A travers son coordinateur national, Oumar Sylla dit Foniké Mengué, le mouvement citoyen dissout par les autorités de la transition précise qu’il n’est intéressé à « rien » sauf le retour à l’ordre constitutionnel.
« Nous ne sommes ni demandeurs ni preneurs. Tout ce que nous voulons et qui nous intéresse, c’est absolument le retour rapide à l’ordre constitutionnel cette fin d’année pour le bien de la Guinée », tranche le premier responsable du FNDC
La coordination nationale du FNDC condamne énergiquement cette décision d’allégeance de certains magistrats au pouvoir autoritaire des militaires au détriment de la loi, mais aussi l’indifférence du CNRD et de son gouvernement face à la menace de grève du mouvement syndical ce qui constitue un manque de respect à l’endroit du peuple de Guinée ;
Cet acte vient mettre en évidence les graves manquements dans la gestion des affaires publiques et du non respect des engagements pris le 05 Septembre 2021 vis-à-vis du Peuple de Guinée et de la communauté internationale
Par la même occasion informe l’opinion publique, les organismes de protection des droits de l’Homme et les services de migration des pays amis à la Guinée que les attestations sont gratuites et que leur élaboration par la Coordination Nationale du FNDC requiert toute la rigueur, la prudence, la vigilance et l’orthodoxie en la matière au sein du mouvement.
Cet après-midi, à l’invitation de l’Ambassade des États-Unis, les Forces Vives de Guinée ont rencontré le Sous Secrétaire Adjoint pour l’Afrique de l’Ouest du département d’État américain, Michael Heath.
Les discussions ont porté sur la situation sociopolitique délétère en Guinée, caractérisée par la restriction de l’espace civique, des réseaux sociaux et de l’espace médiatique.
L’accent a également été mis sur la convergence des efforts en vue du retour rapide à l’ordre constitutionnel en Guinée, à la fin des 24 mois de transition.
